•  
    Je connais des tas de gens
    Qui, dans la vie voient grand
    Cela n'est pas un défaut,
    Car il faut ce qu'il faut.
    Pour mon compte, voyez-vous,
    Il m'en faut pas beaucoup
    Moi, mon rêve le plus fou
    Se borne à cela et c'est tout

    Un petit cabanon
    Pas plus grand qu'un mouchoir de poche,
    Un petit cabanon
    Au bord de la mer sur des roches
    Pour vivre qu'il fait bon
    Quand la blague à son toit accroche
    Son pavillon joyeux
    Qui claque dans notre ciel bleu.
    A l'intérieur, sur une table, c'est tout
    Oui mais sur cette table, il y faudra surtout
    Un aïoli odorant et cordial
    Dont se régalera le gourmand provençal
    C'est pourquoi sans façon,
    Je me dis là, dans ma caboche,
    Le bonheur, té, mon bon !
    C'est un tout petit cabanon.

    C'est bien beau ton cabanon,
    M'a soufflé Cupidon,
    Mais il sera plus joyeux
    Lorsque vous serez deux.
    Celà est mon vif désir,
    Si vous voulez venir,
    Il deviendra un château
    Si nous y chantons en duo.

    Un petit cabanon
    Pas plus grand qu'un mouchoir de poche,
    Un petit cabanon
    Au bord de la mer sur des roches
    Pour vivre il fera bon
    Si l'amour sur son toit accroche
    Son pavillon léger
    Où l'on voit deux coeurs enlacés.
    A l'intérieur une chambre et c'est tout ;
    Dans cette chambre-là, il faut un lit surtout,
    Et dans ce lit un oreiller moelleux
    Et sur l' oreiller, il faut deux amoureux !
    C'est pourquoi sans façon,
    Je me dis là, dans ma caboche
    Le bonheur, té, mon bon !
    C'est un tout petit cabanon.


    Alibert et Germaine  Roger en 1938, dans " Un de la Canebière"

    Germaine Roger
    http://www.cinema-francais.fr/les_actrices/actrices_R/roger_germaine.htm

    Henri Allibert, dit Alibert
    http://fr.wikipedia.org/wiki/Alibert_%28chanteur%29


    Içi, rien n'est jamais terminé !!! ...


  • nazi nein ! 
    Luttons ensemble contre la dictature des banquiers servie par une oligarchie mondialiste !!!

    Le fascisme (en italien fascismo) est un mouvement politique italien apparu en 1919. Très utilisé, le terme a par la suite pris un sens beaucoup plus large, notamment pour désigner dans leur ensemble, durant les années 1930, les mouvements politiques ayant eu en commun des thèmes et des représentations politiques avec le mouvement italien. Le terme même vient du mot « fascio » (« faisceau ») désignant le rassemblement des fusils au repos ou l'attribut du licteur dans la Rome antique1.

    Au sens strict, le terme désigne le mouvement politique fondé par Benito Mussolini, ainsi que le régime qui était en vigueur sous la monarchie italienne quand Mussolini était au pouvoir, de 1922 à 1945. Adversaire de la démocratie, du parlementarisme, de l'individualisme, de la société libérale héritée du XIXe siècle, du capitalisme et de la liberté économique2,3, du socialisme4 et du marxisme, le fascisme mussolinien est autoritaire, nationaliste, militariste, a recours à la violence et ne croit pas à l'égalité des êtres humains. Ce sens strict est notamment utilisé par les historiens de l'Italie.

    Au sens large, le terme fascisme a pris un sens générique. Il s'est étendu à tout mouvement politique s'appuyant sur un pouvoir fort, les métiers organisés en corporations, l'anticapitalisme, le militarisme, l'exaltation du sentiment nationaliste, le rejet des institutions démocratiques et libérales, la répression de l'opposition et un contrôle politique extensif de la société civile. Le nazisme s'est en partie inspiré du fascisme.

    Dans son acception la plus large, le terme est employé pour disqualifier l'ennemi politique. Cette acception a été employée par les Soviétiques durant la guerre froide, dans le cadre de la « tactique du salami »5. Dans le débat politique contemporaine, le terme fasciste continue d'être employé comme une injure. Cependant, le fascisme est encore revendiqué par certaines mouvances d'extrême droite (les néofascistes).
    http://fr.wikipedia.org/wiki/Fascisme


    Interview de Guy Sauvage sur le concept de l'extrême-droite par enquete-debat.
       
    Guy Sauvage est psychanalyste, sympathisant de la cause laïque et auteur de plusieurs articles sur Riposte laïque, et il a une analyse particulièrement juste sur l’extrême-droite.

    "L’accusation d’extrême-droite est employée à tort et à travers"
    Guy Sauvage


    Soyez contre une Tiers-Mondialisation des Peuples !!!



    Içi, rien n'est jamais terminé !!! ...


  •  PP

    Stances à un cambrioleur
     
    Prince des monte-en-l'air et de la cambriole,
    Toi qui eu le bon goût de choisir ma maison
    Cependant que je colportais mes gaudrioles
    En ton honneur j'ai composé cette chanson

    Sache que j'apprécie à sa valeur le geste
    Qui te fit bien fermer la porte en repartant
    De peur que des rôdeurs n'emportassent le reste,
    Des voleurs comme il faut c'est rare de ce temps.

    Tu ne m'as dérobé que le strict nécessaire,
    Délaissant, dédaigneux, l'exécrable portrait
    Que l'on m'avait offert à mon anniversaire,
    Quel bon critique d'art, mon salaud, tu ferais!

    Autre signe indiquant toute absence de tare,
    Respectueux du brave travailleur tu n'as
    Pas cru décent de me priver de ma guitare,
    Solidarité sainte de l'artisanat.

    Pour toutes ces raisons, vois-tu, je te pardonne
    Sans arrière pensée après mur examen,
    Ce que tu m'as volé, mon vieux, je te le donne,
    Ca pouvait pas tomber en de meilleures mains.

    D'ailleurs moi qui te parle, avec mes chansonnettes,
    Si je n'avais pas dû rencontrer le succès,
    J'aurais, tout comme toi, pu virer malhonnête,
    Je serais devenu ton complice, qui sait?

    En vendant ton butin, prends garde au marchandage,
    Ne vas pas tout lâcher en solde au receleurs,
    Tiens leur la dragée haute en évoquant l'adage
    Qui dit que ces gens-là sont pis que les voleurs.

    Fort de ce que je n'ai pas sonne les gendarmes,
    Ne te crois pas du tout tenu de revenir,
    Ta moindre récidive abolirait le charme,
    Laisse moi je t'en pri', sur un bon souvenir.

    Monte-en-l'air, mon ami, que mon bien te profite,
    Que Mercure te préserve de la prison,
    Et pas trop de remords, d'ailleurs, nous sommes quittes,
    Après tout ne te dois-je pas une chanson?

    Post-scriptum. si le vol est l'art que tu préfères,
    Ta seule vocation, ton unique talent,
    Prends donc pignon sur r'u, mets-toi dans les affaires,
    Et tu auras les flics même comme chalands.

    G. Brassens
    http://fr.wikipedia.org/wiki/Georges_Brassens



    G. Brassens Achète une maison à Crespières, dans les Yvelines, où il s’adonne à son dada, la photographie. Mais ne s'y plaisant pas, il y séjournera peu. Il sera cambriolé plusieurs fois
    , d'où naitra cette chanson.

    http://brassens.pagesperso-orange.fr/COMMUN/biographie.html


     
    Es-tu prêt à ne rien posséder ?


    Ici, rien n'est jamais terminé !!! ...

     


  • il est élu

    Bonnes Gens de la Ville,

    Électeurs,

    Écoutez l’édifiante histoire d’un joli petit âne blanc, candidat dans la Capitale. Ce n’est pas conte de mère l’Oie, ni récit de Petit Journal. C’est une histoire véridique pour les vieux gosses qui votent encore :  

    Un bourriquet, fils du pays de La Fontaine et de Rabelais, un âne si blanc que M. Vervoort en a mangé gloutonnement, briguait au jeu électoral un mandat de législateur. Le jour des élections venu, ce bourriquet, candidat-type, répondant au nom clair de Nul, fit une manœuvre de la dernière heure.

    Par le chaud dimanche de mai où le peuple courait aux urnes, l’âne blanc, le candidat Nul, juché sur un char de triomphe et traîné par des électeurs, traversa Paris, sa bonne ville.

    D’aplomb sur pattes, oreilles au vent, émergeant, fier, du véhicule bariolé de ses manifestes — du véhicule à forme d’urne ! la tête haute entre le verre d’eau et la sonnette présidentielle, il passa parmi des colères et des bravos et des lazzis…

    L’Âne vit Paris qui le regardait.

    Paris ! Le Paris qui vote, la cohue, le peuple souverain tous les quatre ans… Le peuple suffisamment nigaud pour croire que la souveraineté consiste à se nommer des maîtres.

    Comme parqués devant les mairies, c’était des troupeaux d’électeurs, des hébétés, des fétichistes qui tenaient le petit bulletin par lequel ils disent : J’abdique.

    Monsieur Un Tel les représentera. Il les représentera d’autant mieux qu’il ne représente  aucune idée. Et ça ira ! On fera des lois, on balancera des budgets. Les lois seront des chaînes de plus ; les budgets, des impôts nouveaux…

    Lentement, l’Âne parcourait les rues.

    Sur son passage, les murailles se couvraient d’affiches que placardaient des membres de son comité, tandis que d’autres distribuaient ses proclamations à la foule :

    « Réfléchissez, chers citoyens. Vous savez que vos élus vous trompent, vous ont trompés, vous tromperont — et pourtant vous allez voter… Votez donc pour moi ! Nommez l’Âne !… On n’est pas plus bête que vous. »

    Cette franchise, un peu brutale, n’était pas du goût de tout le monde.

    — On nous insulte, hurlaient les uns.

    — On ridiculise le suffrage universel, s’écriaient d’autres plus justement.

    Quelqu’un tendit son poing vers l’âne, rageusement, et dit :

    — Sale Juif !

    Mais un rire fusait, sonore. On acclamait le candidat. Bravement l’électeur se moquait et de lui-même et de ses élus. Les chapeaux s’agitaient, les cannes. Des femmes ont jeté des fleurs…

    L’Âne passait.  

    Il descendait du haut Montmartre, allant vers le Quartier Latin. Il traversa les grands boulevards, le Croissant où se cuisine, sans sel, l’ordinaire que vendent les gazettes, il vit les Halles où des meurt-de-faim, des hommes du Peuple-Souverain, glanent dans des tas de détritus ; les Quais où des Électeurs élisent les ponts comme logis…

    Cœur et Cerveau !… C’était Paris. C’était ça la Démocratie !

    On est tous frères, vieux vagabonds ! Plaignez le bourgeois ! il a la goutte… et c’est votre frère, gens sans pain, homme sans travail et mère lasse qui, ce soir, rentrerez chez vous pour mourir avec les petits…

    On est tous frères, jeune conscrit ! C’est ton frère, l’officier, là-bas, corset de fille et front barré. Salue ! Fixe ! la main dans le rang… Le Code te guette — le Code militaire. Douze balles dans la peau pour un geste. C’est le tarif Républicain.

    L’Âne arrivait devant le Sénat.

    Il longea le Palais d’où le poste sortit en bousculade ; il suivit extérieurement, hélas ! les jardins trop verts. Puis ce fut le boulevard Saint-Michel. À la terrasse des cafés, des jeunes gens battaient des mains. La foule sans cesse grossissante s’arrachait les proclamations. Des  étudiants s’attelaient au char, un professeur poussait aux roues…

    Or, comme trois heures sonnaient, apparurent des gens de police.

    Depuis dix heures du matin, de poste en commissariat, le télégraphe et le téléphone signalaient le passage étrange de l’animal subversif. L’ordre d’amener était lancé : Arrêtez l’Âne ! Et, maintenant, les sergens du guet barraient la route au candidat.

    Près de la place Saint-Michel, le fidèle comité de Nul fut sommé par la force armée de reconduire son client au plus proche commissariat. Naturellement le Comité passa outre — il passa la Seine. Et bientôt le char faisait halte devant le Palais de Justice.

    Plus nombreux, les sergents de ville cernaient l’Âne blanc, impassible. Le Candidat était arrêté à la porte de ce Palais de Justice d’où les députés, les chéquards, tous les grands voleurs sortent libres.

    Parmi le flot populaire, le char avait des mouvements de roulis. Les agents, brigadier en tête, avaient saisi les brancards et s’étaient passé la bricole. Le Comité n’insistait plus : il harnachait les sergents de ville…

    Ainsi fut lâché l’âne blanc par ses plus chauds  partisans. Tel un vulgaire politicien, l’animal avait mal tourné. La police le remorquait, l’Autorité guidait sa route… Dès cet instant, Nul n’était qu’un candidat officiel ! Ses amis ne le connaissaient plus. La porte de la Préfecture ouvrait ses larges battants — et l’âne entra comme chez lui.

    … Aujourd’hui si nous en causons c’est pour faire remarquer au peuple, peuple de Paris et des Campagnes, ouvriers, paysans, bourgeois, fiers Citoyens, chers Seigneurs, c’est pour faire assavoir à tous que l’âne blanc Nul est élu. Il est élu à Paris. Il est élu en Province. Additionnez les bulletins blancs et comptez les bulletins nuls, ajoutez-y les abstentions, voix et silences qui normalement se réunissent pour signifier ou le dégoût ou le mépris. Un peu de statistique s’il vous plaît, et vous constaterez facilement que, dans toutes les circonscriptions, le monsieur proclamé frauduleusement député n’a pas le quart des suffrages. De là, pour les besoins de la cause, cette locution imbécile : Majorité relative — autant vaudrait dire que, la nuit, il fait jour relativement.

    Aussi bien l’incohérent, le brutal Suffrage Universel qui ne repose que sur le nombre — et n’a pas même pour lui le nombre — périra dans le ridicule. À propos des élections de  France, les gazettes du monde entier ont, sans malice, rapproché les deux faits notoires de la journée :

    « Dès le matin, vers neuf heures, M. Félix Faure allait voter. Dans l’après-midi, à trois heures, l’Âne blanc était arrêté. »

    J’ai lu ça dans trois cents journaux. L'Argus et le Courrier de la Presse m’ont encombré de leurs coupures. Il y en avait en anglais, en valaque, en espagnol ; toujours pourtant je comprenais. — Chaque fois que je lisais Félix, j’étais sûr qu’on parlait de l’âne.

    « Les Feuilles » - « Il est Élu » de Zo d'Axa

    2

     
    Note de l’Éditeur. — Durant la période électorale l’affiche-programme fut réellement placardée sur les murailles, et le jour du scrutin le candidat satirique traversa réellement Paris, de Montmartre au quartier Latin, fendant la foule enthousiaste ou scandalisée qui manifestait bruyamment. Boulevard du Palais, l’âne fut dûment appréhendé par la police qui se mit en devoir de traîner son char pour le conduire en fourrière, et s’il n’y eut alors bagarre entre les partisans de l’Âne et les représentants de l’Ordre c’est bien, ainsi que le contèrent les journaux de l’époque, grâce au rédacteur de la feuille qui s’écria : — N’insistons pas, c’est maintenant un candidat officiel !



    20.16 Ainsi les derniers seront les premiers, et les premiers seront les derniers.
    « La Bible » Matthieu 20.


     
    ici, rien n'est jamais terminé !!! ...

  • Courbet gustave, paresse et luxure ou le sommeil
    « Le Sommeil » Gustave Courbet (1866)

    L'attente mystique

    I

    Ô mon Dieu, je reviens d’un long voyage amer,
    Où j’ai lassé mon coeur, et d’où je ne rapporte
    Que stériles regrets d’avoir tenté la mer.

    Mon ivresse est tombée et ma superbe est morte ;
    L’universel ennui creuse son vide en moi ;
    L’Espoir, sans s’arrêter, passe devant ma porte ;

    Le jour, quand il renaît, m’inspire de l’effroi ;
    La nuit roule sur moi pleine d’horreur glacée ;
    Je marche comme en rêve et sans savoir pourquoi.

    Ah ! qui l’emportera dans le ciel, ma pensée ?
    Qui fera s’égayer au doux soleil mon front ?
    Qui la délivrera, ma poitrine oppressée ?

    Enguirlandés de fleurs les printemps passeront ;
    Puis les étés ardents, puis les automnes graves :
    Mais, sans charmer mon âme, ils se succéderont.

    Abandonné, lié de toutes parts d’entraves,
    Sur le rivage mort où je suis exilé,
    Je n’apercevrai plus, partout, que mes épaves.

    Mon Dieu, venez remplir ce néant désolé !

    II

    Je cherche vos desseins, ô Maître, avec angoisse,
    Me demandant toujours où vous me conduisez,
    Pareil à ce feuillage errant que le vent froisse.

    Ah ! qu’ils sont, par moments, terribles, vos baisers !
    Pour me posséder mieux, dans votre jalousie,
    Tous mes appuis anciens vous les avez brisés...

    Moi qui me nourrissais de libre fantaisie,
    J’ai traversé l’épreuve, ainsi qu’un âpre hiver,
    Où s’est glacée en moi même la poésie,

    Quels supplices nouveaux trouverez-vous, quel fer
    Déchirera demain mon âme qui tressaille,
    Ô tyrannique Amour, dont les soins coûtent cher !

    Vous ne pouvez pourtant me faire à votre taille.
    Vous le grand Bafoué, le divin Méconnu :
    Et cependant voyez, comme vous, on me raille !...

    Plus d’un m’avait aimé, qui n’est pas revenu ;
    Les sages, inquiets, de côté me regardent :
    Mon coeur est insulté quand je le mets à nu.

    Et seul je crois encore à vos desseins, qui tardent.

    III

    Je veux me reposer sur les collines saintes,
    Car j’ai longtemps marché par les sentiers humains :
    Seigneur, emmenez-moi parmi vos térébinthes !

    Lassé, le roi David allait prendre les pains
    Gardés dans l’ombre, près de l’Arche d’alliance,
    Vous seul, ô Pain vivant, vous apaisez nos faims.

    Oh ! calme enivrement du Ciel goûté d’avance,
    Brûlante effusion, et pleurs dans le secret,
    Extase dans la mort, ardeurs dans le silence !

    Simplicité de coeur si grande qu’on dirait,
    Dans son dépouillement, notre âme devenue
    Comme l’oiseau qui chante au fond de la forêt.

    Voici qu’en nous, déjà, tremble une aile inconnue :
    L’ineffable Beauté nous attire, et parfois
    Passe l’auguste éclair de la Vérité nue.

    Ah ! qu’elle est pénétrante, ô mon Dieu, votre voix !
    Doux Abîme, de Vous mon âme est altérée,
    Époux, je ne vivrai que penché sous vos lois,

    Dieu jaloux, cachez-moi dans votre nuit sacrée.

    Louis LE CARDONNEL.
    http://fr.wikipedia.org/wiki/Louis_Le_Cardonnel



    Toi, sais-tu quel est ton Dieu ? 


     
    içi, rien n'est jamais terminé !!! ...





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