• Dans les Andes, avec Robert Charroux

    La mère de l'humanité s'appelait Orejona.

    Terre
    Système Solaire - LaTerre

    Il y a très longtemps, elle vint sur Terre, à bord d'un engin volant plus brillant que le soleil qui atterrit sur les bords du lac Titicaca.

    Lac Titicaca
    Lac Titicaca - 15°45′S 69°25′O

    Orejona

    A l'ère tertiaire (il y a environ 5 millions d'années), alors que nul être humain n'existait encore sur notre planète peuplée uniquement d'animaux fantastiques, un aéronef brillant comme l'or vint se poser sur l'île du Soleil du lac Titicaca.

    De cet aéronef descendit une femme ressemblant aux femmes actuelles pour tout le corps des pieds jusqu'aux seins ; mais elle avait la tête en forme de cône, de grandes oreilles et des mains palmées à quatre doigts.

    Son nom était Orejona (grandes oreilles) et elle venait de la planète Vénus où l'atmosphère est à peu près analogue à celle de la Terre.

    Ses mains palmées indiquaient que l'eau existait en abondance sur sa planète originelle et jouait un rôle primordial dans la vie des Vénusiens.

    Orejona marchait verticalement comme nous, était douée d'intelligence et sans doute avait-elle l'intention de créer une humanité terrestre, car elle eut des relations avec un tapir, animal grognant marchant à quatre pattes.

    Elle engendra plusieurs enfants. Cette progéniture née d'un croisement monstrueux naissait avec deux mamelles, une intelligence amoindrie, mais les organes reproducteurs restaient ceux du tapir-cochon.

    La race était fixée. Un jour, sa mission accomplie, ou peut-être lasse de la Terre, et désireuse de revenir sur Vénus où elle pouvait avoir un compagnon à son image, Orejona reprit son vol en astronef.

    Ses enfants, par la suite, procréèrent en se vouant surtout au destin de leur père tapir, mais dans la région de Titicaca une tribu demeurée fidèle à la mémoire d'Orejona développa son intelligence, conserva ses rites religieux et fut le point de départ des civilisations pré-incaïques.

    Voilà ce qui est écrit sur le fronton de la Porte du Soleil à Tiahuanaco.

    « Histoire inconnue des hommes depuis 100.000 ans » Robert Charroux (1963)

    Trident Viracocha Mer
    Le Chandelier des Andes ou le Trident - 13° 47′ 42″ S 76° 18′ 18″ O

    Les trois sanctuaires : Paracas, Ica, Tiahuanaco

    Est-ce une coïncidence fortuite ou le résultat d'un calcul, nous n'osons pas nous prononcer, mais il est remarquable que ces trois points indiqués par le Trident : Paracas, Ica et Tiahuanaco soient sur une même ligne et correspondent aux endroits où sont situés les trois sanctuaires secrets des Andes !

    Le relevé mériterait d'être fait par un géographe, mais nos coordonnées, a priori, sont à
    peu près exactes.

    Plan
    Le Pérou  et la frontière de la Bolivie 

    La direction nord-ouest-sud-est se perd par la pointe, au nord, dans l'immense Pacifique, mais se prolonge au sud par la base du Chandelier vers Ica où Cabrera a découvert ses pierres, vers le lac Titicaca et sur Tiahuanaco (Tiwanaku), sanctuaire de l'Empire pré-incaïque.



    Dessins de Palpa
    La Famille Paracas

    En effet :


    — Paracas : nécropole destinée aux Etrangers masculins, blancs, barbus, aux cheveux roux, dont on ne sait rigoureusement rien.

    — Ica : crypte où les Ancêtres Supérieurs ont enfoui l'histoire inconnue des hommes (les pierres du Dr Cabrera).

    — Tiahuanaco, cité-temple énigmatique où, sur la Puerta del Sol, sont dessinés des machines étranges et des hommes à quatre doigts n'appartenant pas plus à notre race que les Ancêtres Supérieurs sans pouce des pierres du Dr Cabrera.

    Etrange coïncidence, en vérité, si l'on y ajoute la pampa de Nazca, juste en bordure de la ligne, avec des milliers de pistas allant en tous sens, mais principalement en direction NOSE (nord-ouest-sud-est), et le temple du Soleil de l'île la plus sacrée du lac Titicaca, là où, selon une tradition, la mère de l'humanité, Orejona, aurait débarqué « d'un astronef aussi brillant que le Soleil ».

    D'autant qu'Orejona avait des mains à quatre doigts et un crâne allongé en pain de sucre, ce qui est en corrélation évidente avec les crânes géants et allongés de la même façon trouvés à Tiahuanaco et qui sont exposés actuellement dans un musée de La Paz !

    Crânes
    Crânes déformés et traces de chirurgie

    Un aussi fantastique mystère évoque irrésistiblement une race d'être supérieurs, non
    originaires de notre Terre !

    L'existence, jadis, dans la région d'Ica d'Ancêtres Supérieurs à haute civilisation est attestée par les 11000 pierres du Dr Cabrera.

    03ICA
    Pierre du Dr Cabrera représentant une intervention chirurgicale

    Ces Initiateurs, chirurgiens, géographes, physiciens, astronomes repartirent ou disparurent probablement peu de temps après leur venue, puisqu'ils ne laissèrent aucun monument durable de leur passage, sinon un enseignement dont on retrouve les traces, édulcorées mais probantes.

    01 ICA
    Pierre du Dr Cabrera représentant une scène domestique

    02 ICA
    Pierre du Dr Cabrera représentant un combat

    La « ligne sacrée » Tiahuanaco-Paracas

    Incontestablement, une lueur jaillit dans le sens nord-ouest-sud-est donné par la
    majorité des tracés de la Nazca, par l'axe du Candélabre et par la ligne incroyablement droite où se situent la nécropole de Paracas, les grottes à pierres du docteur Cabrera, la Nazca et la fascinante Puerta del Sol, toute grande ouverte sur le chemin des sanctuaires.

    La « Porte du Soleil » de Tiahuanaco a été orientée de façon à ce que le soleil du
    solstice qui se lève le matin pour éclairer en pleine face passe ensuite par son ouverture pour aller se poser sur la Nazca, Ica et Paracas.

    La Porte du soleil
    Tiwanaku-La Porte du soleil - Viracocha - 16° 33′ 17″ S 68° 40′ 24″ O

    Poséidon, dieu de l'océan était roi de l'Atlantide selon les traditions.

    Les symboles des Atlantes étaient le trident et le cheval marin.

    Le « Trident des Andes », comme on l'appelle à Paracas, serait-il une signature des rescapés de l'Atlantide ?

    Quant à l'énigmatique « Tridente », terminus de la « ligne sacrée », il est gravé sur une
    colline dont la pente moyenne est de 38°, de telle sorte que ses trois sommets pointent vers le ciel dans une direction bien déterminée.

    Que désigne donc la fourche symbolique du dieu Océan ?


    Trident
    Le Chandelier des Andes ou le Trident dans la baie de Pisco

    La Terre de Mu, qui dans des temps lointains émergeait vers l'autre bord du
    Pacifique ?

    Il est difficile de retenir une telle suggestion si l'on veut — et on le doit — tenir
    compte de l'inclinaison des collines de Paracas.

    Ce n'est pas par hasard que la « ligne sacrée » Tiahuanaco-Nazca-Ica s'élève
    brusquement comme pour indiquer un point du ciel très probablement en relation avec les Grands Ancêtres qui fondèrent les sanctuaires ou en mémoire de qui ils furent édifiés.

    Or, précisément, dans la direction donnée, à quelque 40 millions de kilomètres, Vénus
    la Verte, la Divine, étincelle chaque soir et pare le firmament de son émeraude incomparable.

    Vénus, patrie de Chasca, de Viracocha, d'Orejona, selon les traditions !


    Patrie aussi, peut-être, des Initiateurs de la science terrestre !


    Et quand Vénus, en courtisane soumise, accompagne Inti, le Dieu-Soleil, en décrivant
    une révérence de 180°, le Trident des Andes, alors, pointe en direction de Sirius, la Sothis des Egyptiens, la mère de notre système solaire d'après les Dogons d'Afrique.

    Or, Sirius occupe une place primordiale, non seulement dans la mythologie des
    peuples, mais aussi dans leur astronomie opérative.

    Palpa Plan
    Par avion, la pampa est un tableau géant où l'on croit lire un message fantastique; au sol elle n'est plus qu'un désert banal dépouillé de sa magie et de son caractère grandiose.

    En fait, ce n'est pas une déception que l'on éprouve mais plutôt le sentiment, la quasi-certitude que les tracés de la Nazca doivent être vus du ciel.

    L'Astronaute
    L'astronaute
    Vue de Nazca
    Les lignes de Nazca-14°43′S 75°08′O

    Nazca Plan
    La Nazca, en elle-même, est une énigme impénétrable mais qui se dévoile, s'éclaire jusqu'à devenir lumineuse quand on la replace dans son contexte: les mystérieux personnages blancs barbus, aux cheveux roux, somptueusement inhumés dans la nécropole insolite de Paracas; les hommes géants, à tête énorme de Tiahuanaco et les hommes d'une race extra-terrienne, à quatre doigts, ciselés sur la Puerta del Sol; les grottes secrètes à révélations scientifiques d'Ocucaje; le Chandelier des Andes, surgi de la mer, du dieu Poséidon et pointé vers le ciel.


    Paracas Momies
    Momie de Paracas et crâne déformé - Musée régional de Ica

    A part les grandes pistas qui semblent avoir été creusées, tous les tracés sont à fleur de sol.

    Trapèze

    Le Trapèze 

    Les lignes qui délimitent les contours des oiseaux, du perroquet, du poussin, des spirales, du singe, etc., ont, en moyenne, 12 à 15 centimètres de largeur.


    Araignée
    L'araignée

    Elles sont blanches, un peu ocrées et légèrement parsemées de petites pierres brunes
    qui ne nuisent pas à leur intégrité.

    Singe 2
    Le singe

    Par contre, le magnifique condor long de 180 mètres que nous survolons maintenant, de lignes parfaites et très pures, se détache sur un fond sombre, uni et intact.

    Le condor, messager des dieux
    Selon Edmond Wertenschlag, ce « condor » serait un picaflor (colibri) identifié en raison de son long bec, mais on sait que souvent des pistas étroites prolongent des représentations graphiques.

    Dans la même zone, d'autres condors ou oiseaux sont dessinés, dont l'un a un cou et un bec démesurément longs, en zigzag.

    Le symbole du condor dans les Andes pourrait aider à l'explication des grabados (gravures) puisqu'il est le « messager des dieux ».

    Dans cette hypothèse, l'immense tableau de dessins serait effectivement un hommage ou plutôt un message à destination d'êtres supérieurs ou dieux habitant le ciel.

    Condor
    Le Condor

    D'autres dessins posent encore des énigmes : perroquet, chat, volatiles à quatre pattes, sauriens, poissons, poussin, fleur, serpents à plusieurs têtes, objets de formes indescriptibles,etc.

    Oiseau
    L'Oiseau
    Le Colibri
    Le colibri

    Orejona, comme les personnages ciselés sur la Puerta del Sol, à Tiahuanaco, avait des mains à quatre doigts, dont le pouce.

    Viracocha
    Dessin de Viracocha d'après celui de « la Porte du Soleil » à Tiwanaku 

    Les Mains
    Les Mains

    Voilà ce que nous avons vu sur la Nazca : sur le paysage quasi lunaire où descend la paix du soleil couchant, les ombres des grosses pierres s'allongent, et un silence impressionnant appesantit l'atmosphère.

    Le Chien
    Le Chien

    Pas un oiseau ne vole dans le ciel, pas un seul animal ne paraît vouloir vivre dans ce désert plus aride et hostile que le Sahara.


    La Baleine
    La Baleine

    De même, il y a lieu de croire que les peuples de Bolivie et du Pérou perpétuèrent la visite des êtres de sang divin par les traditions relatives à Orejona et à son astronef vénusien, par les bas-reliefs de la Puerta del Sol, les
    grabados d'Ica et les dessins de la Nazca.

    Humain
    Culture Cupisinique - Sifflet (XVème-IXème avant JC)

    Tous les textes sont de Robert Charroux. 

    Merci, M. Charroux de m'avoir fait rêver ... même si la vérité se révèle être différente ... 

    L'énigme des Andes
    Les pistes de Nazca, la bibliothèque des Atlantes
    Robert Charroux (1974)
    http://www.scribd.com/doc/31327630/Aventure-Mysterieuse-Robert-Charroux-L-Enigme-des-Andes-Copie

    Robert Charroux
    http://fr.wikipedia.org/wiki/Robert_Charroux

    L'Art des Andes

    http://fr.wikipedia.org/wiki/Art_des_Andes_centrales

    La civilisation Inca
    http://fr.wikipedia.org/wiki/Civilisation_inca#Culte_du_Soleil_et_des_astres

    Astrologie et religion des Incas
    http://secretebase.free.fr/civilisations/ameriques/incas/religion/religion.htm

    Les pierres d'Ica
    http://www.ldi5.com/archeo/ica.php


    Pour ceux qui ne veulent pas rêver ...


    Numéro spécial de Kadath (1976)

    http://www.kadath.be/pdf/kadath_16.pdf


    ici, tout a commencé !!! ...
    « Aujourd'hui seulement finit Nuremberg Jeter un tonneau vide à la Baleine »

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